Le « Cas pour le support » sur son arbre perché, tenait en son bec un donateur… Le « Kit Anti-mouise » par l’odeur alléché…
Non, vous n’allez pas lire aujourd’hui une fable de La Fontaine adaptée à l’univers Fundraising.
Nous avons juste au programme aujourd’hui un grand chantier : enfin trouver une traductions française à « Case for Support » et « Fundraising Survival Kit », outils fondamentaux de notre offre !!
Pour le second, "Kit de survie fundraising" s'imposerait… même s'il nous semble moins plein de panache !
Quand au "Case For Support". Pour lui faire un sort, nous nous sommes enfermés dans une salle de réunion afin de « brainstormer » (faire « tempêter nos cerveaux » ???) à notre aise.
En vain. Tant pis, nous garderons l’anglicisme.
Rendons aux anglo-saxons ce qui leur appartient : ils ont compris depuis longtemps l’importance du « Case for support », véritable colonne vertébrale d’une stratégie de fundraising. Partir intégrante de notre « Kit de survie », le « Case for support » est un argumentaire irréfutable : il démontre un besoin social et comment votre pouvez le remplir.
CQFD. Il n’y a plus qu’à faire donner !
L’application ultime du « Case for support » c’est le « discours d’ascenseur » (« Elevator speech »… of course !) ou comment – en une minute chrono – démontrer à un potentiel donateur coincé avec vous pour un voyage de quelques étages qu’il doit ab-so-lu-ment vous confier son argent.
Imaginez si tous vos salariés, de la standardiste au Président, si tous vos bénévoles, si tout votre Conseil d’administration maîtrisaient ce petit discours…
Mais bien sur, comme pour tout ce qui a l’air simple in fine, créer un « Case for support » performant nécessite de prendre du temps et de se pencher vraiment sur ces questions primordiales qu’on perd parfois un peu de vue: à quel besoin ma structure répond-elle ? Pourquoi ce besoin est-il primordial ? Quelle est la solution que mon organisation propose ? En quoi cette solution est-elle la meilleure ? Ou encore : comment le donateur peut-il m’aider à mettre en place cette solution ?
Toutes ces questions, nous les avons articulées dans ce que nous appelons la méthode « BISAM® » (ne cherchez pas l’anglicisme, ni la traduction ! Vous vous trouvez face à un simple acronyme bien français !). Nous sommes persuadés que le retour aux sources qu’elle peut donner un nouvel élan à toute stratégie de fundraising.
Quand à nos petits ennuis de traduction… nous acceptons toutes vos suggestions !
N’hésitez pas à nous les exposer en nous faisant part de vos « Commentaires » ci-dessous...
La Belle Blonde